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  • Photo du rédacteurAlexandra Dublanche

Portrait dans Le Figaro du 4 janvier 2022

Dernière mise à jour : 14 janv. 2022


"PORTRAIT - La vice-présidente de la région Île-de-France, en charge des questions économiques, organisera, pour l’élection présidentielle de 2022, les comités de soutien et coordonnera la cellule riposte.


À retrouver sur : https://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/alexandra-dublanche-pilier-de-l-equipe-de-valerie-pecresse-20220104


Encore peu connue du grand public, elle fait pourtant partie des très proches de Valérie Pécresse. À 39 ans, Alexandra Dublanche aura une double mission dans la campagne présidentielle de la candidate: l’organisation des comités de soutien, avec Gérard Larcher et Laurent Wauquiez, et la coordination de la cellule riposte avec Julien Aubert.


«C’est un des piliers de mon équipe», confiait récemment Valérie Pécresse au Figaro. La vice-présidente de la région Île-de-France en charge des questions économiques était d’ailleurs juste à ses côtés, mardi matin, lors de la conférence de presse de rentrée. «Alexandra, c’est ma petite sœur, c’est mon couteau suisse, c’est mon bras droit», affirmait Valérie Pécresse pendant la campagne pour le congrès, lors d’une réunion publique dans les Yvelines.


Polyglotte, bûcheuse et CV brillant

Il y a quelques années, Valérie Pécresse repère Alexandra Dublanche et la presse de s’engager en politique. «J’ai besoin de toi», lui glisse-t-elle avec la volonté de faire monter une nouvelle génération d’élus et notamment de femmes à droite. Depuis près de 10 ans, elles travaillent étroitement ensemble.


Fille de Philippe Goujon, le maire LR du 15e arrondissement de Paris, Alexandra Dublanche avait pourtant longtemps fui la politique pour lui préférer une carrière dans le privé. Après des études en école de commerce, la jeune femme débute en Allemagne, au sein du cabinet de conseil McKinsey puis enchaîne, après un passage en cabinet ministériel auprès de Luc Chatel, sur un master d’administration publique à Harvard. Elle y observe de près la campagne de Barack Obama de 2012 et crée un logiciel de «stratégie électorale» pour cibler géographiquement les électeurs à convaincre et optimiser les campagnes sur le terrain.

C’est d’ailleurs aux États-Unis qu’elle rencontre Valérie Pécresse, alors ministre de l’Enseignement supérieur. Le virus de la politique la rattrape. À son retour en France, au lendemain de l’élection de François Hollande, Alexandra Dublanche intègre le cabinet de la future présidente de région. Les deux femmes se ressemblent. Mère corse pour chacune, polyglottes, bûcheuses, CV brillant, elles sont toutes les deux implantées politiquement dans les Yvelines. Comme un passage de témoin entre la candidate et la benjamine?


«Elle ira très très loin»

Il y a 8 ans, la présidente de région envoie Alexandra Dublanche à Sartrouville… La jeune femme s’y installe durablement ; elle y devient notamment l’ajointe au maire Pierre Fond. «Mon attachement à ce territoire est entier, glisse-t-elle. J’y vis avec mon mari depuis près de 10 ans, mes enfants y sont nés et y grandissent.»


Au nom de Valérie Pécresse, Alexandra Dublanche mènera ensuite tous les combats politiques locaux, de la campagne pour la présidence des Yvelines aux régionales. La greffe prend. Soutenue à l’unanimité par les Républicains, elle sera candidate aux législatives, en juin prochain, face à Yaël Braun-Pivet, l’actuelle députée LREM et présidente de la commission des lois de l’Assemblée. «Alexandra, on sait qu’elle ira très très loin», se réjouissait Valérie Pécresse pendant la campagne LR."




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